Pour l'instant, le dialogue de Talanoa s'est contenté de rappeler des faits bien connus : la communauté internationale accumule les retards, alors qu'elle devrait agir vite et de concert pour limiter les changements climatiques.
Mardi 11 et mercredi 12 décembre, les 148 représentants des Etats se sont répartis dans 21 sessions organisées dans le cadre de la phase politique du dialogue de Talanoa initié l'an dernier, lors de la COP 23 présidée par Fidji. A l'issue de ces deux journées d'échanges, un document de deux pages, intitulé
Talanoa Call for Action (1) , a été présenté. Il doit permettre de donner des signaux clairs dans la perspective d'un relèvement des engagements pris jusqu'à maintenant par les...
Article publié le 13 décembre 2018