Outre l'exploitation et l'entretien de l'installation, le contrat inclut l'amélioration du système de traitement de fumées pour répondre aux normes européennes d'émission de gaz, plus strictes. Il porte également sur la capacité de l'incinérateur à traiter des déchets médicaux en plus des déchets dangereux, a précisé le groupe dans un communiqué.
Exploitée depuis 1993 dans le cadre d'une coentreprise dont Veolia Propreté est l'actionnaire majoritaire, l'unité de traitement des déchets dangereux a une capacité de 100.000 tonnes par an. Les principaux procédés de traitement utilisés comprennent l'incinération, le traitement par voies physico-chimique, la séparation huile-eau usée et la stabilisation des résidus.
Article publié le 30 novembre 2009